JPG: Photos by Jean-François Dupuis

jeudi 22 octobre 2015

Muse en lumière au centre d'art de Richmond

Encan silencieux le 14 avril en formule 5 @ 8
Pour une deuxième année, un collectif de photographes de l’Estrie se regroupe autour d’un même thème: Une muse et pas n’importe quelle: Véronique Grenier. Professeure de philosophie, chroniqueuse à La Nouvelle de Sherbrooke, blogueuse (Les P’tits pis moé) et choniqueuse pour Urbania. Véronique Grenier a tout pour inspirer!

 Photographies non choisis par moi-même















mardi 20 octobre 2015

Images de la collection muses par Jean-François Dupuis




BMX passion par Jean-François Dupuis

Un peu d'histoire
 
 
Le BMX (en anglais : bicycle moto cross) est apparu en 1968 en Californie, alors qu’au même moment le moto cross devenait un sport très populaire aux États-Unis.
La version motorisée de ce sport a été la source dans le besoin d'inspiration du BMX. Enfants et adolescents animés par le désir de pratiquer la moto cross alors qu’ils n’en avaient pas les moyens ont donc assouvi leur appétit en participant à des compétitions de vélo sur des pistes qu’ils construisaient eux-mêmes. Et pour que l’imitation soit plus fidèle, ces jeunes aventuriers se sont habillés avec des équipements de moto cross. Le sport a pris le nom de BMX et le concept fut adopté.
La compétition de BMX offre à moindre frais et proche de chez soi l’excitation d’un sport d’action. Il est facile de comprendre pourquoi le sport extrême connut immédiatement un véritable engouement. C’est en Californie qu’il fut le plus populaire. Au début des années 70, une structure de régulation des courses fut créée aux États-Unis. Elle est considérée maintenant comme le début officiel de la compétition. Au cours de cette même décennie, cette pratique fut introduite sur d’autres continents et à travers l’Europe à partir de 1978.
En avril 1981 a été créée "International BMX Federation" (Fédération Internationale de BMX) et les premiers Championnats du monde se déroulèrent en 1982. Le BMX se développa rapidement comme un sport à part entière et après plusieurs années, il trouva plus de points communs avec les codes du cyclisme qu’avec ceux du moto cross. Depuis janvier 1993, le BMX a été totalement intégré à l’Union Cycliste Internationale.






La cathédrale Saint-Michel de Sherbrooke par Jean-François Dupuis

CATHÉDRALE-BASILIQUE

La cathédrale Saint-Michel est une partie cruciale de l’histoire des Sherbrookois catholiques.

Elle fait partie du décor sherbrookois depuis plusieurs générations. Qui n'a pas assisté à un baptême, un mariage, une messe de Minuit ou un événement communautaire à la Basilique-Cathédrale ? Ce haut lieu de culte fait partie du patrimoine religieux estrien. Il est essentiel de préserver cet édifice incontournable pour les Sherbrookois et les visiteurs provenant de partout dans le monde. La cathédrale est un pilier historique fondamental de la religion catholique en Estrie.
«La cathédrale a toujours été un des symboles de la ville de Sherbrooke. C'est le symbole du rassemblement des fidèles de Dieu», affirme l'abbé Paré. «Les nouveaux arrivants catholiques viennent toujours ici en premier parce qu'elle est facile à reconnaître de loin», dit Éric Vaillancourt, curé à la cathédrale.

 La Basilique-Cathédrale Saint-Michel est l’un des plus grands attraits touristiques de la région estrienne. La noblesse et l’unicité de la cathédrale ainsi que son style architectural gothique attirent des milliers de visiteurs chaque année. Cet édifice fait partie du décor pour la population sherbrookoise depuis plus de 100 ans.










Depuis toujours la photographie en noir et blanc a connu un penchant artistique prononcé.
Ce dernier, s’il est correctement exploité, permet la rencontre de la technique et de la créativité.
Même si les appareils numériques modernes permettent l’obtention d’une image monochrome, cette technique n’est pas conseillée.
Historiquement, le rôle du noir et blanc est confirmé, il a donné le premier siècle de la photographie, et nombre de professionnels lui attribuent une pureté totale, un support d’expression unique.
La technologie numérique vient aujourd’hui consolider sa place de deux façons : Le Noir et Blanc est facile à imprimer car il est inutile de disposer d’une chambre noire et de bains chimiques. Ensuite le numérique offre toute une gamme de nouvelles possibilités de contrôle de tonalités dans l’image finale.
Non pas que le niveau de compétences requises soit moindre, mais les ressources sont plus facilement accessibles.

Le Noir & Blanc, à l'origine de la photo, a su garder sa place à côté de la couleur
En 1826 Nicéphore Niepce devient la première personne à figer une image de façon permanente.
Le Noir et Blanc symbolise un passage déterminant de la réalité à son interprétation.
La couleur apparaît en 1903 avec le procédé Autochrome.
Dans les années 60 la couleur, elle, est monnaie courante.
Pendant ce temps, le Noir et Blanc ne disparaît pas, pas plus qu’il n’est considéré comme inférieur.
Bien au contraire, il acquiert une identité encore plus marquée. Il impose une rigueur, une discipline se perdant souvent parmi les associations émotionnelles et culturelles.
Il exprime une personnalité, une « patte » en usant de qualités graphiques des proportions, des lignes, des formes et des textures.
Il est source de créativité.
Le Noir & Blanc ou l'art de capter et travailler la lumière
L’objectif suprême de la plupart des photographes en monochrome est la capacité du Noir et Blanc de discerner des détails dans les ombres et les hautes lumières.
L’absence de couleurs porte l’attention sur des dynamiques spécifiques, car l’impression en Noir et Blanc est généralement plus importante pour les tonalités et les rendus des hautes lumières et des ombres.
La vision monochrome devient, avec l’expérience, un réflexe lors de la composition de l’image dans le viseur de l’appareil photo.
Cette vision spécifique détermine à l’avance l’importance donnée à la structure de l’image finale. Ces caractéristiques lui donnent un pouvoir unique, celles d’aller à l’essentiel, faisant abstraction d’une certaine « complaisance » imposée par l’usage de la couleur.
Le retour en force du Noir & Blanc
Les plus grands noms de la photographie ont donné au Noir et Blanc ses lettres de noblesse, en inscrivant dans leurs oeuvres leurs styles et leurs personnalités.
Pour n’en citer que quelques-uns, des photographes tels que : Salgado, Cartier-Bresson, Jean-Loup Sieff, Willy Ronis, Robert Doisneau, Bernard Plossu….sont immédiatement reconnaissables tant par leurs visions que par la manière de traiter leurs monochromes.
Actuellement la photographie Noir et Blanc revient en force dans le domaine du reportage, de la mode, de la publicité pour son impact visuel très fort.
Une manière d’affirmer un regard ou une expression incontournable, d’exprimer un sentiment au-delà de la couleur.
Nul doute que le Noir et Blanc a de beaux jours devant lui et saura toujours imposer sa différence dans l’évolution de l’image.






lundi 19 octobre 2015

Symphonie urbaine par Jean-François Dupuis

J'ai du plaisir à procéder à des jeux de transformations qui me permettent d’en imposer une vision singulière au spectateur. La pression créatrice est destinée à faire éclater les normes qui constituent notre compréhension ordinaire du monde. Produire des images, c’est me faire plaisir: C’est d’abord une jouissance de la matière, puis le plaisir de voir apparaître lentement puis de développer sur un support, une image jusque-là inconnue, qui bouge et se transforme à chacun de nos gestes jusqu’à l’envahissement complet de l’espace bidimensionnel. Dans cette élaboration de l’image, s’imbriquent des temps d’arrêt, de réflexions, des prises de conscience du discours qui est à s’inscrire. A partir d’images familières, j’ai du plaisir à procéder à des jeux de transformations qui me permettent d’en imposer une vision singulière au spectateur.